6 RAISONS DE MANGER IG BAS
La méthode Montignac est née dans le milieu des années 80 et son fondateur, Michel Montignac a été le premier à introduire l’emploi des Index Glycémiques dans la perte de poids.
À l’époque fortement critiquée, cette notion est aujourd’hui reprise par le plus grand nombre et elle n’a cessé de faire ses preuves depuis.
Mais saviez-vous qu’au-delà de ses effets bénéfiques sur la silhouette, l’alimentation IG bas a de nombreuses autres vertus ?
Elle est anti-inflammatoire. Une analyse (1) reprenant 60 études a mis en exergue qu’une alimentation à index glycémique et/ou charge glycémique bas(se) permettait de réduire de façon significative les marqueurs de l’inflammation.
Elle permet de mincir et/ou de stabiliser son poids. La régulation de la glycémie limite la sécrétion trop importante d’insuline et de ce fait, limite la lipogenèse (stockage des graisses) et les fringales.
Elle améliore la forme physique et psychologique. En évitant les hypoglycémies réactionnelles, les coups de pompe et l’état de fatigue chronique sont fortement réduits voire supprimés.
Elle a un effet bénéfique sur le bilan sanguin en améliorant notamment des valeurs comme le cholestérol et les triglycérides. L’étude du Professeur Dumesnil sur la méthode Montignac (2) a montré que les triglycérides pouvaient diminuer de 35% à partir du sixième jour de pratique de la méthode Montignac.
Elle permet de prévenir les facteurs de risques de maladies métaboliques (diabète, obésité…) et de pathologies cardiovasculaires.
Elle permet d’améliorer la prise en charge des patients diabétiques en diminuant leur médication (à toujours mettre en place avec le médecin diabétologue).
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À très vite !
(1) “Association between carbohydrate quality and inflammatory markers: systematic review of observational and interventional studies”, Anette E Buyken, Janina Goletzke, Gesa Joslowski, Anna Felbick, Guo Cheng, Christian Herder, Jennie C Brand-Miller, The American Journal of Clinical Nutrition, Volume 99, Issue 4, April 2014, Pages 813–833
(2) » Effect of a low-glycaemic index – low fat – high protein diet on the atherogenic metabolic risk profile of abdominally obese men », Jean G. Dumesnil, British Journal of Nutrition (2001), 86, 557-568 . Nov. 2001